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Monsieur Bernard SCHAFFNER (1942/2017)

M.et Mme Bernard Sénécal, le 06/11/2017

Sincères condoléances à son épouse et ses filles
Nous avions fait connaissance en 2014 lors d'un voyage en Israël, organisé par le CRIF, et étions depuis restés en contact "virtuel" par des échanges de mail.

Nous parlions de vous à chaque rencontre, dans le Nord, avec Paul Roos, les Malherbe et le Père Fabien.

En union de prière
Marie-Françoise et Bernard

Mme Sylvie Gueyte, le 04/11/2017

Recevez mes condoléances
Gueyte Sylvie
(Employée de me Cousteau et me netter) 8

M. Hervé Delemarre, le 04/11/2017

C'est dans la douleur que je me résigne, comme si je n'y avais pas vraiment cru jusqu'à présent, après trois jours sous le choc, à "commenter" l'avis de décès d'un grand et vieil ami, Bernard Schaffner. Vieil ami : nous nous sommes connus au début des années cinquante. Nous habitions la même artère, lui et sa famille au N°11, la mienne au N° 59 de l'avenue Raoul-Briquet dans notre bonne ville de Lens dont son père était le maire, en plus d'être un médecin de réputation nationale (spécialisé dans le traitement de la maladie des mineurs, la silicose).

A cette époque Bernard ne faisait pas partie de mes copains de classe, il était bien trop "grand" en âge pour cela ! Bernard était en effet le grand frère de mon camarade de l'école Carnot, Claude "Pino" Schaffner, et le plus élevé en taille de la fratrie des quatre enfants du Dr Schaffner (Claude "Pino", Bernard, Jacqueline et Yves). Claude et moi le respections et l'admirions.

Les années ont passé, Bernard est devenu un notable, un notaire, je l'ai perdu de vue, n'entendant parler de lui que par Claude, mon vieux et fidèle copain de primaire et du lycée Condorcet, que j'ai revu régulièrement durant un demi-siècle. Au début des années deux mille, Bernard et moi nous sommes mis à nous revoir, chez lui à Paris, près du Trocadéro. Et avec un plaisir partagé, je le sais. Chez Bernard et sa délicieuse épouse Anne-Marie, nos déjeuners avaient l'habitude de se terminer un peu avant dix-huit heures, nous remplissions le temps de brassées d'anecdotes (et de ragots croustillants) sur la vie ancienne à Lens (le plus souvent en langue ch'ti, dont Bernard était un pratiquant éclairé), mais aussi d'échanges de vue sur l'actualité politique, littéraire, culturelle : rien ne pouvait échapper à la sagacité du grand Bernard et ses jugements pouvaient être incisifs, sarcastiques, pétris d'humour le plus souvent.

Puis, un jour de juillet 2014, Claude "Pino", mon cadet de trois mois, vint à mourir. Dans la petite église du village de Sermoise, dans l'Aisne, le grand Bernard ne me quitta pas d'une semelle, conscient sans doute que je risquais de défaillir dans cette épreuve. Une inconnue à ma gauche me transférait des mouchoirs en papier, et Bernard à ma droite m'administrait des tapes sur la cuisse et sur l'épaule. Et voici que trois ans plus tard c'est à son tour d'y passer. Pourquoi lui, pourquoi déjà, pourquoi la vie est-elle comme ça ?

Bernard séjournait avec Anne-Marie plusieurs mois par an dans leur demeure de Roaix, près de Vaison-la-Romaine, dans le Vaucluse. C'est là qu'il a trouvé la mort. Il était à juste raison fier du vin issu de ses vignes, qu'il offrait avec générosité.

Bernard Schaffner, un grand type de grande classe, de vaste culture, capable de saillies d'humour tonitruantes.

Bernard, je ne sais plus si je te l'ai dit : quand tu étais déjà étudiant en droit à Lille et ton petit frère et moi encore potaches à Condorcet, tu roulais dans une deux-chevaux que tu avais équipée d'un klaxon poire en trompette que je trouvais du plus bel effet ; on n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. Quand j'eus à mon tour une 2CV, des années plus tard, mon premier souci fut de la sonoriser à l'identique. Un jour, tu verras, comme toi je ne manquerai pas de mourir.

Mme Lydie Canard Haas, le 04/11/2017

Ayant appris le décès de Mr Schaffner, je partage votre peine et vous adresse mes sincères condoléances

M. Claude DUHOUX, le 03/11/2017

C'est avec tristesse que j'ai appris le décès de mon ami Bernard Schaffner. Nous ne nous connaissions pas depuis longtemps mais j'ai pu apprécier ses qualités : gentillesse, disponibilité, humour ....
Je n'oublierai pas que Bernard m'a apporté une aide précieuse dans la rédaction des textes que j'ai publié sur la biographie de son père, ancien député-maire de Lens.
Mon épouse et moi-même adressons toutes nos condoléances à Madame Schaffner et à toute sa famille.
Adieu Bernard et merci pour tout.


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