M. BRUNO ISAIA, le 28/08/2019
Chère Madame LE GALLIC (oserais-je dire Madame LA GALLIC comme je vous appelais il y a déjà quelques années). Cela a été un choc pour moi d’apprendre brutalement, et un peu tardivement le décès de votre mari. Il est des personnes que l’on côtoie et dont il ne reste rien et d’autres avec qui l’on sympathise, avec qui l’on s’entend, avec qui on partage sa confiance. C’était le cas de votre mari que j’ai côtoyé longuement, tant du temps de la station-service que de celui du garage. Toujours de bonne humeur, toujours de bon conseil. Sa disparition me touche beaucoup et je vous prie de bien vouloir croire à mes sentiments de sympathie. Cordialement. Bruno ISAIA